Ces dernières semaines, l’épidémie mondiale de COVID-19 a placé le télétravail au cœur du système économique ; les entreprises qui le peuvent ont mis en place des plans de continuité d’activité prévoyant le travail à domicile de la majeure partie ou de la totalité, selon les secteurs, de leurs employés. Par conséquent, la demande pesant sur les services informatiques a connu une croissance inattendue et inédite, posant un défi technologique de taille aux entreprises. Cette situation a également contribué à révéler des différences entre les entreprises en matière de niveau de préparation, selon qu’elles ont mis en place ou non l’infrastructure technologique nécessaire.
L’une des technologies qui facilitent le télétravail est la virtualisation du poste de travail. Comme son nom l’indique, il s’agit de virtualiser les ressources informatiques de telle sorte que les données critiques restent dans des datacenters centralisés, accessibles aux employés en même temps que d’autres applications sur divers appareils, depuis des lieux autres que le bureau.
La mise en place d’une infrastructure de bureau virtuel (VDI) apporte différents avantages : la continuité des activités, la récupération rapide des données, le renforcement de la sécurité et de la protection des données, mais ces avantages ne sont pas garantis. Certaines entreprises constatent en effet que leur première tentative de virtualisation pose autant de problèmes qu’elle en résout : cela s’illustre par des performances décevantes pour l’utilisateur final, une complexité de gestion inattendue ou encore des coûts élevés. Dans d’autres cas, la VDI peut fonctionner correctement au début, sans parvenir à s’étendre à plus grande échelle avec le temps.
Dans de nombreux cas où les résultats de la mise en œuvre sont décevants, la cause de cet échec est clairement identifiable, à savoir un système de stockage inadéquat, souvent basé sur des disques durs traditionnels, ou des systèmes hybrides combinant disque dur et technologies à semi-conducteur.
Il ne fait aucun doute que de nombreuses technologies connexes telles que les hyperviseurs, les réseaux, les équilibreurs de charge et la sécurité ont connu des améliorations, mais l’élément le plus important qui a fait évoluer la VDI est probablement l’avènement d’un stockage performant basé sur la technologie flash.
En 2012, quand Pure Storage lance sur le marché la première baie de stockage d’entreprise entièrement flash, la VDI est l’un des meilleurs cas d’utilisation du stockage 100% flash, qui a permis aux entreprises de déployer facilement la VDI et de fournir une expérience rapide et efficace au service de leurs utilisateurs finaux. Dans cette dynamique, les hyperviseurs VDI ont progressivement apporté des améliorations significatives à leurs plateformes, notamment une expérience utilisateur plus riche avec l’accélération graphique, plus de sécurité, une intégration transparente des applications, ou encore la prise en charge des appareils mobiles.
En parallèle, Pure a continué de faire innover son stockage, avec sa plateforme NVMe adaptée au flash, ainsi qu’une option NVMe over fabrics (NVMe-oF), et un média de nouvelle génération plug-and -play, la mémoire de classe de stockage (SCM). La NVMe augmente la densité de la capacité tout en maintenant les performances à un niveau de latence très faible.
La qualité que les baies 100% flash de Pure apportent à la VDI est reconnue non seulement par les clients mais aussi par l’industrie. Dans le rapport Gartner de 2019 sur les capacités des baies de stockage flash, celles de Pure ont obtenu le meilleur score dans la catégorie Infrastructure de bureau virtuel, avec un score de 4,26 sur un maximum de 5. Les entreprises qui s’appuient sur la VDI ont donc tout à gagner à opter pour un stockage flash pour solutionner ou prévenir tout problème de performance.
Pure propose plusieurs solutions qui leur permettent de fournir plus simplement et rapidement des ressources VDI supplémentaires. FlashStack™ de Pure et Cisco est une excellente option pour mettre en œuvre une infrastructure VDI intégrée qui est opérationnelle dès le premier jour ; la solution bénéficie des derniers composants de calcul, de réseau et de stockage dans une architecture intégrée unique qui accélère le temps de déploiement, réduit les coûts informatiques globaux et diminue les risques de déploiement.
D’autre part, le stockage en tant que service (STaaS) est un excellent moyen de mettre rapidement en place des ressources pour les travailleurs à distance tout en conservant une certaine flexibilité des besoins, face à l’incertitude de cette période et de sa durée. Pure-as-a-Service permet aux DSI de n’utiliser que la capacité requise immédiatement, de gérer les coûts dans le temps en jouant sur les remises et de pouvoir fournir des IO élevés au moment du démarrage et de la connexion des bureaux virtualisés. Avec des durées d’engagement de 12 mois et des promotions offrant les trois premiers mois gratuitement, c’est un moyen facile d’augmenter temporairement le stockage en place pour soutenir la VDI sans un engagement financier prolongé.