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Dossiers

Une étude New Relic met en exergue les écarts entre leaders et traditionalistes IT

Publication: Septembre 2020

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Grâce à l’amélioration de l’optimisation de leurs logiciels, plus d’un tiers des leaders IT ont vu leur chiffre d’affaires augmenter de plus de 10 % au cours des trois dernières années ; et parce qu’ils ont moins de problèmes à résoudre, leurs développeurs passent 77 % de leur temps à innover...
 

New Relic, la plateforme d’observabilité dans le cloud la plus complète et la plus importante du marché conçue pour aider les clients à optimiser leurs logiciels, a publié les résultats de son étude sur l’amélioration des logiciels optimisés. Celle-ci définit deux types de comportements, entre les entreprises dites « leaders » et celles dites « traditionalistes » et révèle pourquoi le besoin d’améliorer l’optimisation des logiciels est impératif.

« New Relic s’engage à aider ses clients à devenir des leaders. À cet effet et dans le climat actuel, il est impératif que les entreprises prennent l’offensive. Cela nécessite l’accélération de la migration vers le cloud, la pratique de l’observabilité, le focus sur les données, le développement de la résilience, et le soutien de la culture DevOps », explique Olivier Brot, Directeur Commercial Europe du Sud et BeNeLux, New Relic.

Les leaders derrière l’optimisation logicielle

Selon l’étude, un petit groupe de « leaders » (représentant 25 % des participants à l’enquête) est bien plus avancé que ses homologues dans l’amélioration de l’optimisation de ses logiciels. En revanche, le groupe des « traditionalistes », qui présente les scores les plus faibles en termes de logiciels optimisés, rassemble un autre quart des participants à l’étude.

- 90 % des leaders indiquent que le fait de développer et de déployer des logiciels dont l’optimisation a été améliorée est une priorité stratégique.

- Au cours des trois dernières années, les leaders ont vu une forte croissance de leur chiffre d’affaires, dépassant les 10 % chez plus d’un tiers d’entre eux.

- Les leaders sont plus enclins à déclarer que leur entreprise est en avance sur ses concurrents en termes de 1) perception de la marque, 2) engagement des employés, 3) performances financières, et 4) rapidité de l’innovation.

L’étude évalue le positionnement des entreprises en fonction de cinq critères d’excellence logicielle, et en tire des conclusions sur ce qui différencie les leaders des traditionalistes :

1. La maturité du cloud

La migration des systèmes vers le cloud et le développement d’applications pour cet environnement sont cruciaux pour s’assurer une production, un déploiement et une gestion rapides des logiciels.

- Les leaders exploitent en moyenne 66 % de leurs logiciels et systèmes dans le cloud, contre seulement 46 % des traditionalistes.

- 96 % des leaders indiquent qu’ils ont adopté une approche cloud natif pour le développement logiciel contre seulement 24 % des traditionalistes.

- 98 % des leaders ont adopté l’intégration et la livraison continues contre seulement 40 % des traditionalistes.

- Pour les leaders, les principaux obstacles à une plus grande adoption du cloud sont les soucis de sécurité et la réglementation, alors que chez les traditionalistes, il s’agit plutôt du manque de compétences et des investissements à fonds perdu dans l’infrastructure sur site.

2. La maîtrise de l’observabilité

L’observabilité est un élément essentiel du développement et de l’optimisation des performances des logiciels. Elle permet aux développeurs d’innover, de tester et de déployer rapidement de nouvelles fonctionnalités et applications avec la garantie que le reste du système ne sera pas impacter en négatif.

- Pour 94 % des leaders, l’observabilité des logiciels est un élément fondamental du développement informatique et non une pièce rapportée après coup ; un avis que partagent seulement 56 % des traditionalistes.

- 78 % des leaders sont informés des interruptions logicielles et systèmes par le biais des plateformes d’observabilité, contre seulement 12 % des traditionalistes.

- Dans les entreprises leaders, il est plus rare que chez les traditionalistes d’avoir des interruptions de service ou de logiciels qui soient signalées par les clients externes (33 % contre 48 %).

3. La visibilité de bout en bout

Les entreprises qui intègrent les données de performance des logiciels et systèmes à celles des utilisateurs ont une meilleure compréhension de la façon dont les modifications apportées aux logiciels impactent leurs clients et les performances globales de l’entreprise.

- 100 % des organisations leaders ont intégré les données de performances utilisateur (sur toutes les plateformes), contre seulement 20 % des organisations traditionalistes.

- 99 % des leaders indiquent qu’ils peuvent rapidement comprendre les répercussions des modifications apportées aux logiciels, contre seulement 38 % des traditionalistes.

4. La résilience numérique

Les entreprises les plus performantes développent des logiciels par amélioration continue. Cela signifie essentiellement qu’elles suivent différentes approches telles que celles des tests de résilience par le chaos et de résolution automatisée des problèmes afin d’améliorer de manière significative la résilience de l’architecture, et donner ainsi aux équipes la confiance qu’il leur faut pour apporter des modifications rapidement en fonction de l’évolution des besoins des clients.

- Les leaders sont bien plus susceptibles que les traditionalistes d’avoir adopté les tests de résilience par le chaos (77 % contre 30 %) et la résolution automatisée des problèmes (89 % contre 5 %).

- 83 % des leaders subissent moins de cinq grosses pannes logicielles ou système par mois, contre 3 % chez les traditionalistes.

- 75 % des leaders constatent un temps de résolution moyen inférieur à 30 minutes, contre seulement 1 % des traditionalistes.

5. Des équipes sûres d’elles

Pour élaborer de meilleurs logiciels plus rapidement, les entreprises doivent accorder à leurs développeurs un degré d’autonomie qui leur permettent de prendre des décisions sur le développement et la gestion des logiciels. Avec une structure d’équipe trop hiérarchisée et un système organisationnel hérité trop complexe, les développeurs perdent leur temps à naviguer entre politiques internes et résolution des problèmes au lieu d’innover et de créer.

- 99 % des leaders indiquent que la technologie et la culture d’observabilité sont en place pour permettre aux développeurs de prendre des décisions rapides sans en craindre les répercussions, contre seulement 33 % des traditionalistes.

- Par conséquent, les leaders passent en moyenne 77 % de leur temps à innover (parce qu’ils ont moins de problèmes à résoudre), alors que les traditionalistes n’y consacrent que 54 % de leur temps.

Ce que révèle l’étude pour la France

En analysant les réponses des entreprises françaises sous le prisme des 5 critères d’excellence listés ci-dessus, la France compte 17% d’entreprises leaders, ce qui la place en troisième position derrière le Japon (24% de leaders) et l’Allemagne (19%), et 18% d’entreprises traditionalistes.

Des chiffres qui révèlent un certain équilibre français, comparé à d’autres pays avec des écarts beaucoup plus prononcés, comme le Japon avec 24% de leaders et seulement 6% de traditionalistes, et le Royaume-Uni qui, inversement, compte 15% de leaders et 26% de traditionalistes.

Voici les principaux enseignements à retenir des réponses des entreprises françaises :

- Les entreprises françaises ont conscience de l’importance de la performance des logiciels et des systèmes ; 90% d’entre elles pensent que les logiciels et systèmes doivent fonctionner de manière optimale pour pouvoir offrir la meilleure expérience possible à leurs clients et atteindre leurs principaux objectifs commerciaux ; ce chiffre est le plus haut score obtenu à cette question, ex-aequo avec les Etats-Unis.

- L’observabilité (capacité à comprendre comment et pourquoi les différents logiciels et systèmes d’infrastructure fonctionnent et interagissent en temps réel) est un paramètre important aux yeux des entreprises françaises, qui leur permet en priorité d’améliorer l’expérience client (43%) et la résilience (43%), en diminuant l’impact des erreurs de codes et d’infrastructure. C’est également par les outils et plateformes d’observabilité que plus de la moitié des entreprises (56%) déclarent être informées des interruptions de logiciels et de systèmes (la moyenne de tous les pays étant de 53%), contre seulement 30% qui doivent attendre le retour de leurs clients pour cela (la moyenne de tous les pays étant de 36%).

- Enfin, le principal obstacle identifié par les entreprises françaises à l’amélioration des performances de leurs logiciels et systèmes est le manque d’observabilité (33%). La France présente une avance certaine sur le déploiement de la culture DevOps, 27% de ses entreprises l’ayant adopté dans une large mesure (la moyenne de tous les pays étant de 16%) et 47% l’ayant adopté dans une certaine mesure. De plus, 13% des entreprises françaises font en sorte que leur culture et leur technologie d’observabilité permettent à leurs développeurs de prendre des décisions rapidement, sans craindre de répercussions ; sur ce point, la France est en seconde position derrière l’Australie.

Vers la création de logiciels optimaux

Selon l’étude, les entreprises sont seulement à mi-chemin de leur parcours de développement et de gestion de logiciels d’exception : le score moyen est en effet de 6,22 sur 10. Toutefois, les leaders sont nettement plus en avance avec un score moyen de 7,57 contre 4,39 pour les traditionalistes.

L’étude de New Relic sur le développement de logiciels à l’optimisation améliorée a été commissionnée en partenariat avec Longitude, une agence primée de leadership éclairé appartenant au groupe Financial Times. Les informations obtenues sont basées sur une enquête menée en février et mars 2020 auprès de 400 cadres et spécialistes de services informatiques internationaux. Les participants se trouvent en Australie, en Allemagne, aux États-Unis, en France, au Japon et au Royaume-Uni. Ils sont tous employés dans des organisations dont le chiffre d’affaires annuel est d’au moins 500 millions de dollars US, et 20 % d’entre eux appartiennent à la catégorie des cadres dirigeants.

Déclarations prospectives

Ce communiqué de presse contient des déclarations prospectives, telles que définies par la législation de la commission fédérale des opérations sur titre, y compris, mais sans s’y limiter, les déclarations relatives au rapport sur l’amélioration de l’optimisation des logiciels de New Relic, ainsi que ses résultats et recommandations. La réalisation ou les performances des points couverts par lesdites déclarations prospectives sont basées sur les hypothèses, attentes, et convictions actuelles de New Relic, et sont soumises à d’importants risques, incertitudes, conjectures et changements de circonstances, à la suite desquels les performances, réalisations ou résultats réels de New Relic peuvent être considérablement différents matériellement de ceux exprimés ou suggérés dans la déclaration prospective, quelle qu’elle soit. De plus amples informations sur les facteurs qui pourraient avoir un effet sur les résultats financiers ou autres de New Relic et les déclarations prospectives incluses dans ce communiqué de presse sont déposées auprès de la SEC de temps en temps, notamment dans le formulaire intitulé « Form 10-K » le plus récent de New Relic, et en particulier dans ses sections « Risk Factors » et « Management’s Discussion and Analysis of Financial Condition and Results of Operations ». Des copies de ces documents peuvent être obtenues sur le site web des relations aux investisseurs de New Relic (http://ir.newrelic.com) ou sur celui de la SEC (http://www.sec.gov). New Relic n’assume aucune obligation et n’entend pas mettre à jour ces déclarations prospectives, sauf si la loi l’exige.

http://www.newrelic.fr/

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