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Elle place l’agglomération parmi les territoires leaders dans le domaine du numérique et de l’innovation, leviers de croissance pour toute l’économie.

Après le temps de la labellisation, vient celui de l’action. Label avant tout collectif, French Tech Bordeaux Métropole lance une série d’initiatives pour créer plus de valeur auprès des acteurs de l’écosystème et accélérer la dynamique numérique de la métropole.

Une gouvernance à majorité entrepreneuriale

Une structure informelle et agile renforcera l’efficience des actions numériques locales. Elle est composée d’un collège de cinq entrepreneurs*, bénévoles et soucieux de s’impliquer dans le rayonnement économique du territoire, d’Agnès Grangé qui a coordonné la candidature, et des membres des institutions : Virginie Calmels représentant Alain Juppé président de Bordeaux Métropole, Alain Rousset président de la Région Aquitaine et Pierre Goguet président de la CCI de Bordeaux.

Un directeur délégué de la French Tech Bordeaux Métropole sera chargé de fédérer les acteurs autour d’un plan d’action concerté et de développer de nouvelles initiatives. Engagé, proche du terrain, il sera au service des entrepreneurs et animera des « task forces » avec des représentants de l’écosystème, selon les cinq axes définis par la Mission nationale French Tech :

 Lisibilité : mieux comprendre « qui fait quoi » et accentuer les collaborations ;

 Accélération : contribuer à la mise en place d’accélérateurs privés ;

 Marchés Publics : faciliter l’accès des startups aux marchés des collectivités et de l’État ;

 Talents : former et attirer les talents dont manquent les startups ;

 Rayonnement : favoriser la visibilité et l’expansion des startups en France ou à l’international.

La data comme force de l’écosystème

Outre la mise en place d’une gouvernance forte aux mains des entrepreneurs, une base de données des startups constituera l’un des pivots du plan d’action de French Tech Bordeaux Métropole. Alimentée en information de manière volontaire par les entreprises, elle sera un actif pour l’ensemble de l’écosystème, autant qu’un outil de connaissance et de communication. Plus grand sera le nombre de startups référencées dans la base, plus fort sera French Tech pour les soutenir. Elle permettra par exemple d’estimer le nombre de startups constituant l’écosystème, le nombre de personnes qu’elles emploient ; leur chiffre d’affaires en France et à l’export, etc. Ces informations seront partagées, et tous les acteurs labellisés French Tech pourront accéder au contenu de la base.

Outil communautaire, la base de données facilitera les communications par la mise en place d’un annuaire, ou d’autres services collaboratifs.

Encore plus de collaboration et de croissance

Ainsi, la dynamique French Tech a pour objet d’accentuer « l’effet réseau » de l’écosystème, afin qu’une économie plus collaborative, du partage, se mette en place au service de la croissance et de la visibilité des startups, que ce soit au sein de notre écosystème, au national ou bien à l’international.

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