La première période de confinement et son incertitude économique a poussé de nombreuses entreprises à prendre davantage de décisions basées sur les données. Afin de bénéficier de la flexibilité et de l’agilité de l’analytique, une majorité de répondants (80 %) déclarent que leurs entreprises ont désormais recours aux données stockées dans le cloud selon un rapport commandité par Teradata et mené par le cabinet d’études indépendant Vanson Bourne. En conséquence, depuis le début de la pandémie, 79 % des organisations s’appuient davantage sur les données et l’analytique pour éclairer les stratégies de continuité des activités et pour déterminer la meilleure façon d’effectuer un pivot afin de s’adapter aux nouvelles caractéristiques de ce monde post-covid.
L’ensemble des indicateurs sont au beau fixe pour faire de l’analytique dans le cloud l’allié des entreprises qui visent une reprise économique rapide. D’une part, plus de la moitié des répondants (56 %) ne considèrent pas que leur entreprise dispose d’une présence dans le cloud limitée, suggérant que leur présence est donc forte, ce qui favorise leur capacité à prendre des décisions clés et à pivoter dans la période de crise actuelle. D’autre part, la COVID-19 n’a pas entrainé de réduction des budgets informatiques pour 58 % des entreprises ; les dépenses consacrées aux projets d’analyse des données au sein des organisations n’ont donc pas été impactées.
« La pandémie de COVID-19 a engendré de nombreuses incertitudes économiques pour les entreprises françaises. Si l’ensemble des secteurs n’ont pas été impactés de la même manière, tous cherchent à optimiser leurs coûts pour terminer cette année 2020 sur un bilan financier positif. En raison de ses nombreux avantages, l’analytique dans le cloud est un atout stratégique pouvant grandement contribuer à la reprise économique des entreprises françaises. » déclare Christophe Gendre, Territory VP France & Benelux chez Teradata.
Au mois de septembre 2020, Teradata a mandaté Vanson Bourne, cabinet d’étude indépendant, afin qu’il réalise un sondage quantitatif auprès de décideurs IT aux États-Unis, au Royaume-Uni, en France, en Allemagne, en Chine et au Japon. Les répondants sont issus d’entreprises privées comptant 1 000 employés ou plus, et qui œuvrent notamment dans le secteur des services financiers, de l’IT, de la technologie et des télécommunications. Les entretiens ont été menés en ligne, au terme d’un processus de sélection rigoureux et à plusieurs niveaux, afin de veiller à ce que seuls les candidats répondant à ces exigences participent à cette étude.