Kyriba, le leader mondial des solutions de gestions de liquidité dans le Cloud, annonce aujourd’hui la publication des résultats d’une étude menée par IDC auprès de 800 directions financières dans le monde. Ils mettent en évidence l’émergence d’une nouvelle catégorie de logiciels d’entreprise alliant la gestion de la trésorerie, des risques, des paiements, de la connectivité en temps réel et du financement de besoin en fonds de roulement. Cette étude confirme également que l’analyse prédictive, les API et l’Intelligence Artificielle sont des technologies clés pour permettre aux dirigeants d’optimiser leur gestion de liquidité d’un point de vue global.
L’étude identifie un groupe d’entreprises « leaders » dont les directions financières surperforment leurs pairs en matière d’efficacité opérationnelle, d’adoption de technologies et de maturité des processus.
Vision globale de la liquidité : 51 % des « leaders » peuvent produire une vue consolidée de la trésorerie et de la liquidité en moins d’une heure, contre 8 % des entreprises les moins équipées ;
Réduction des risques : 79% des « leaders » ont mis en place une prévention très efficace de la fraude aux paiements, alors que seulement 16% des entreprises moins équipées déclarent avoir confiance dans leurs programmes ; 69% des « leaders » se couvrent efficacement pour protéger leur liquidité, alors que moins de 5% des entreprises moins avancées technologiquement déclarent avoir des programmes de couverture performants ;
Décisions en temps réel : 93 % des « leaders » exploitent des informations en temps réel, contre seulement 36 % des organisations moins digitalisées. 85 % des « leaders » intègrent des données en temps réel provenant de partenaires et de membres tiers dans leurs plateformes logicielles ;
Investissements technologiques : 51 % des « leaders » et 43 % de tous les répondants prévoient d’augmenter leurs investissements sur des plateformes logicielles de liquidité ;
« La nouvelle mission des DAF est d’identifier et d’activer toutes les sources de liquidité possibles de l’entreprise pour faire face à la volatilité croissante des marchés. Cette étude confirme que les entreprises les plus digitalisées dessinent les contours de nouvelles pratiques en matière de gestion de liquidité. Elles permettent d’atténuer les risques en temps réel, tout en optimisant globalement la trésorerie, les paiements et le financement du besoin en fonds de roulement. Les DAFs peuvent ainsi fournir du support à la décision à leurs partenaires opérationnels en exploitant les données grâce à l’Intelligence Artificielle et aux API. Nous assistons à la naissance d’une nouvelle catégorie de logiciels, Enterprise Liquidity Management », a déclaré Samuel Guillon, Directeur de la Stratégie chez Kyriba.
« Nous pensons qu’une telle plateforme de gestion de liquidité aidera les Directeurs Financiers à renforcer ces nouvelles pratiques pour améliorer leur résilience, générer de la valeur et libérer des opportunités de croissance », ajoute-t-il.
« Dans l’ensemble, les résultats de l’étude montrent l’importance croissante de la liquidité pour les dirigeants financiers. Le DAF est en train de devenir un champion de la liquidité pilotant la transformation au travers de décisions opérationnelles basées sur l’exploitation des données. Les leaders financiers exigent des systèmes agrégeant, analysant et diffusant les données. Cette demande fait émerger des plateformes intelligentes, construites sur la technologie API et une gestion unifiée de la donnée. L’étude montre que les Directeurs Financiers reconnaissent la nécessité d’investir dans les outils, les compétences et les ressources nécessaires pour gérer la liquidité transversalement à toute l’entreprise” a déclaré Kevin Permenter, directeur de la recherche, Applications financières chez IDC.
Il ajoute : "pour les éditeurs, c’est une opportunité d’action unique d’aider les DAFs dans l’évolution de leur rôle. Globalement, nous avons estimé le marché potentiel des logiciels d’Enterprise Liquidity Management à 30 milliards de dollars en 2021. Mais les opportunités à plus long terme pour les éditeurs de logiciels sont beaucoup plus importantes”.