Un chiffre en augmentation de 14 % depuis l’année dernière, et qui tombe à point nommé cette semaine, à l’occasion de la Journée mondiale de la sauvegarde 2022 (World Backup Day), célébrée le 31 mars. Face aux cybermenaces toujours plus nombreuses aujourd’hui et à des environnements informatiques plus complexes, les entreprises ont plus que jamais besoin de mesures robustes de protection des données et devraient toutes miser sur un plan de sauvegarde, de réplication et de récupération solide pour protéger leurs données.
Tout d’abord parce qu’aucune entreprise n’échappe aux pannes imprévues. Les causes principales de ces incidents en zone EMEA sont les pannes d’infrastructure ou de réseau, les défaillances matérielles de serveurs et les défauts de logiciels applicatifs. Une situation aggravée par les ransomwares et autres cybermenaces, la moitié (51 %) des entreprises EMEA déclarant avoir subi des pannes à cause d’une cyberattaque au cours des 12 derniers mois.
Or, toute donnée qui n’est pas sauvegardée peut être perdue à jamais en cas de panne. Pour y remédier, quelle que soit l’origine de la compromission panne matérielle ou électrique, une suppression accidentelle ou une cyberattaque, la règle de sauvegarde 3-2-1-1-0 de Veeam permet toujours de récupérer les données. Cette règle prévoit qu’il y ait toujours au moins trois copies des données importantes, sur au moins deux types de supports différents, au moins une hors site et une copie immuable hors ligne, et enfin, zéro sauvegarde non vérifiée.
71 % des entreprises de la région EMEA ont subi des attaques par ransomware au cours des 12 derniers mois selon l’étude de Veeam ; d’autre part, plus d’une entreprise sur trois (36%) est incapable de récupérer ses données après une attaque par ransomware. Il apparaît que trop d’entreprises ne sont pas encore en mesure de récupérer les données qu’elles perdent.
Face à ce constat, les entreprises doivent prendre conscience de la nécessité d’une bonne stratégie de protection des données qui doit s’appuyer sur trois piliers : l’éducation des collaborateurs, la mise en œuvre de stratégies de protection et de reprise, et la remédiation en dernier lieu.
La possibilité de déplacer les charges de travail d’une plateforme à l’autre - y compris physique, virtuelle et hébergée dans le cloud - permet aux entreprises de progresser dans leurs initiatives de transformation numérique et de retirer les anciens outils de sauvegarde. Mais pas au détriment de la résilience de l’informatique. Veeam permet à la fois la protection des données dans le cloud, ainsi que la protection des charges de travail hébergées dans le cloud, comme les SaaS et les conteneurs, avec une sauvegarde et une restauration complètes, une reprise après sinistre, une mobilité des applications et une protection contre les ransomwares. Il est essentiel que les décideurs comprennent que les données sont l’élément vital de leur entreprise et que le choix d’investir dans une protection moderne des données revient à investir dans leur avenir.