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F5 Networks annonce le lancement d’un projet unique en son genre pour aider les entreprises et l’ensemble du secteur informatique à automatiser plus efficacement leurs opérations, à améliorer leurs performances et à pallier le manque chronique de compétences informatiques.

Grande première dans la région EMEA, l’initiative mondiale Super-NetOps de F5 entend bousculer les pratiques des professionnels en charge des opérations réseau (NetOps), l’idée étant de renforcer la collaboration avec les développeurs (DevOps) et d’abandonner les procédures manuelles pour atteindre des niveaux sans précédent d’automatisation, d’amélioration continue et de retour sur investissement. L’objectif du programme est de développer les compétences nécessaires à la standardisation des services applicatifs critiques et à l’automatisation des chaînes d’outils.

« Il existe un fossé entre les méthodes de travail des équipes NetOps et DevOps, auquel s’ajoute un manque de collaboration. Nous voulons faire émerger une nouvelle génération de professionnels super-NetOps capables de répondre de manière proactive aux attentes de l’entreprise en matière de développement et de livraison rapides et automatisés d’applications », déclare Kara Sprague, vice-présidente directrice et directrice générale de la division Application Delivery Controller chez F5 Networks.

« Le paysage des menaces en constante mutation et l’essor des environnements multi-Clouds changent la donne. Aujourd’hui, les développeurs exigent des services applicatifs performants, évolutifs et sécurisés, avec davantage d’automatisation », explique Patrick Berdugo, Directeur Général France de F5 Networks. « Pour les équipes informatiques traditionnelles, cela signifie fournir le niveau d’orchestration et d’agilité requis pour mettre en place un modèle d’infrastructure programmable, seul moyen de réussir dans l’économie numérique actuelle. L’initiative Super-NetOps de F5 a précisément été conçue pour relever ce défi. »

L’initiative Super-NetOps de F5 commence par une formation en ligne gratuite, disponible à la demande et déjà testée auprès de centaines de clients F51. Le premier cours porte sur les méthodologies DevOps ainsi que sur les concepts d’automatisation, d’orchestration et d’infrastructure sous forme de code. Il est spécialement pensé pour éliminer les silos opérationnels, ramener les délais de prestation de services de plusieurs jours à quelques minutes, et assurer la conformité des applications aux réglementations, règles d’entreprise et normes de performances en vigueur.

Au cours des prochains mois, F5 étoffera son programme avec des cours sur les méthodologies de déploiement automatisé axées sur la sécurité pour l’approche DevSecOps émergente. Des cours sur les frameworks de langage applicatif et l’intégration de chaînes d’outils d’automatisation tierces sont également prévus.

« Le rôle des équipes chargées des opérations réseau est plus important que jamais. L’expérience qu’elles ont acquise depuis des dizaines d’années dans le déploiement, la gestion, la maintenance et la sécurité des applications est inestimable », ajoute Patrick Berdugo. « Ce qu’il nous faut aujourd’hui, c’est un moyen de combler le fossé entre des pratiques informatiques manuelles traditionnelles et un développement/déploiement rapide d’applications basé sur l’automatisation. La majorité des développeurs veulent des services opérationnels accessibles à la demande. C’est pourquoi il est urgent de montrer aux professionnels en charge des opérations réseau comment définir et délivrer les services dont les équipes applicatives ont besoin selon un modèle de service. Cela permettra aux développeurs de consacrer davantage de temps à l’élaboration d’applications génératrices de revenus. »

L’initiative Super-NetOps de F5 intervient à un moment où la région connaît un intérêt grandissant pour l’automatisation.

Selon le rapport SOAD2 (State of Application Delivery) 2018 de F5, trois clients interrogés sur quatre (75 %) dans la région EMEA déclarent que l’utilisation de l’automatisation dans le cadre de l’exploitation de leur infrastructure informatique est « quelque peu » ou « très » importante. La majorité (72 %) utilisent l’automatisation pour rationaliser leur infrastructure informatique et ainsi réduire leurs coûts d’exploitation, tandis que près de la moitié (48 %) cherchent à faire évoluer leurs systèmes pour répondre à la demande. 6 % disent faire appel à l’automatisation pour tous leurs déploiements de production, 49 % y ont eu partiellement recours et 28 % ont lancé des programmes pilotes.

http://www.f5.com