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Les principales conclusions en un coup d’œil :

 L’intelligence artificielle (IA) étant le moteur de la croissance de la vidéo intelligente, un quart des entreprises européennes interrogées devrait adopter cette technologie en 2024 ;

 43% prévoient d’investir jusqu’à 100 000 dollars dans leurs nouveaux systèmes ;

 En France, les options de stockage des données (25%), les analyses avancées, les alertes en temps réel (21%) et la qualité vidéo haute résolution (20%) comptent parmi les critères les plus importants lors du choix d’un système de vidéo intelligente ;

 Dans l’Hexagone, les cas d’utilisation les plus courants restent la sécurité et la prévention des vols (27%), la réduction des coûts d’opération (33%), la santé et la sécurité des employés (28%).

Technologie puissante, l’analyse vidéo intelligente traite et analyse les données vidéo afin d’obtenir des informations fiables et de prendre des décisions commerciales éclairées. Avec l’essor de l’intelligence artificielle (IA) et des fonctions pilotées par l’IA, la vidéo intelligente accroît sa popularité en Europe. Selon la dernière étude de Western Digital sur l’utilisation des systèmes de vidéo intelligente dans les organisations européennes, de plus en plus d’entreprises locales adopteront cette technologie au cours des 12 prochains mois.

Sur les 1 362 entreprises interrogées au Royaume-Uni, aux Pays-Bas, en Allemagne, en Italie, en France et en Espagne, un quart (25%) est prêt à mettre en œuvre cette technologie et à investir un montant important (43% : jusqu’à 100 000 euros) dans leurs nouveaux systèmes.

L’intérêt pour la vidéo intelligente basée sur l’IA et ses cas d’utilisation s’est largement développé ces dernières années et a conduit à une augmentation des besoins en données des entreprises. Il est intéressant de noter que l’IA a déjà un impact significatif sur les capacités de la vidéo intelligente, en particulier lorsqu’il s’agit de fonctions avancées du système.

Lorsqu’on leur a demandé comment la prolifération de l’IA avait modifié les éléments de la vidéo intelligente, les entreprises françaises interrogées ont cité l’évolutivité des opérations (44%), l’efficacité du système (44%), la personnalisation de la surveillance (44%) et l’analyse (43%) comme les facteurs les plus importants. Pour répondre à ces nouveaux défis et suivre l’évolution des caméras, des fonctions avancées d’IA et des innovations en matière de stockage de données, les entreprises doivent s’adapter et faire évoluer leurs systèmes de stockage en conséquence, selon l’utilisation souhaitée.

« Aujourd’hui, les caméras ne se contentent plus d’enregistrer en 4K et de fournir plusieurs flux vidéo, elles prennent également en charge l’analyse des données en temps réel au niveau de l’appareil, grâce à des puces avec IA intégrées à la caméra. Elles fournissent de plus en plus de données riches en médias, détaillées et nettes, enregistrées à un minimum de 24 images par seconde (ips), ce qui double, voire triple, la capacité de stockage requise par les organisations », déclare Darragh O’Toole, Product Marketing Manager, Europe chez Western Digital.

En périphérie, où se trouvent la plupart des données des entreprises européennes (50 %), l’adoption de l’IA et de la vidéo 4K stimule la demande de solutions de stockage à haute capacité, haute performance et haute endurance, pour stocker des quantités de données toujours plus importantes et permettre un enregistrement de longue durée et en continu. Un outil particulièrement nécessaire et efficace pour la sécurité, qui reste le cas d’utilisation le plus pertinent pour les entreprises européennes.

Partout en Europe, de nombreuses caméras fonctionnent 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, 365 jours par an, pour prévenir les vols (34%, 27% en France), enquêter sur les incidents (33%, 36% en France) et surveiller la santé et la sécurité des employés (32%, 27% en France). Toutefois, ces dernières années, on observe également un nombre croissant de nouveaux cas d’utilisation en périphérie, comme les alertes en temps réel (23%, 20% en France) et la cartographie thermique (22%, 23% en France), qui permettent aux clients d’optimiser leur activité. Dans le commerce de détail, par exemple, les caméras intelligentes peuvent être utiles à bien des égards, qu’il s’agisse de l’agencement du magasin ou de l’amélioration de l’expérience client grâce à la détection des mouvements dans le magasin.

Grâce à l’intelligence artificielle, les magasins peuvent compter et enregistrer avec précision le nombre de personnes qui entrent et sortent, ce qui leur permet de mieux planifier leur activité et d’optimiser les étalages. Ces exemples démontrent que les données de périphérie deviennent encore plus critiques pour les entreprises et exigent longévité et fiabilité. En outre, ces informations incitent également les entreprises européennes à sauvegarder les données de leurs caméras en cas de perte soudaine de disponibilité du réseau. À cette fin, les entreprises françaises préfèrent une solution de stockage dans le Cloud (46 %) à un centre de données local (41 %).

En ce qui concerne le cœur, les flux de données de haute qualité nécessitent un stockage conçu avec des capacités avancées pour améliorer le streaming ATA, réduire la perte d’images et améliorer la lecture vidéo globale. Pour prendre en charge, les charges de travail d’IA et permettre aux clients d’exploiter la puissance des applications d’apprentissage profond, les centres de données et le Cloud ont besoin d’un stockage spécialisé et robuste qui offre une grande capacité et de hautes performances.

Darragh O’Toole résume la situation : « Chaque organisation a des exigences différentes en matière de stockage vidéo intelligent, en fonction du cas d’utilisation. Cependant, elles ont en commun ce besoin impérieux de répondre aux nouvelles exigences de capacité et d’évolutivité de leurs systèmes pour l’avenir. Sans surprise, la majorité des organisations françaises interrogées (71%) optent de plus en plus pour une capacité de stockage élevée, comprise entre 13 et 22 To. Elles peuvent ainsi équiper leurs systèmes pour les besoins futurs en matière de données et optimiser leurs activités afin de relever les défis et saisir les opportunités posées par l’IA. »

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