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Les 10 et 11 février prochain, la France accueillera le Sommet pour l’Action sur l’intelligence artificielle (IA). Cet évènement, organisé au Grand Palais, réunira des chefs d’État et de gouvernements, des dirigeants d’organisations internationales, de petites et grandes entreprises, des représentants du monde universitaire, des chercheurs, des ONG, etc. Il se concentrera sur des actions concrètes pour garantir le développement et le déploiement de l’IA au bénéfice des sociétés, des économies et de l’environnement, et ce, dans l’intérêt général et le respect du bien commun.

Cette manifestation résonne parfaitement avec le cœur de l’activité de Qlik®, leader mondial de l’intégration de données, de l’analyse et de l’intelligence artificielle (IA). Ainsi, dans un récent rapport intitulé « Build or Buy », Qlik a interrogé 250 dirigeants et décideurs en matière d’IA en France, recueillant notamment leur point de vue sur le positionnement de la France. Le résultat est plutôt positif, puisque 61 % estiment que les entreprises françaises peuvent facilement atteindre leurs objectifs d’IA.

En outre, elles ont le potentiel pour devenir des leaders mondiaux en matière de compétences en IA au cours des cinq prochaines années pour 60 % des répondants, à condition d’avoir les financements et les formations adéquats. En effet, 70 % des responsables IA estiment que ces derniers, fournis actuellement par le gouvernement, devraient être renforcés.

Il est intéressant de noter que 56 % des répondants s’accordent sur le fait que la concurrence internationale rend difficile pour la France de répondre à la demande de compétences en matière d’IA.

Rendre l’IA digne de confiance

L’adoption de modèles « d’IA de confiance » est l’un des sujets phares qui seront adressés lors du Sommet. En effet, le développement rapide de l’IA est une source de transformations profondes qui génèrent de nombreuses opportunités positives, mais également des risques considérables.

Un point de vue qui rejoint la vision de Qlik et de son étude « Build or Buy » car 50 % des répondants ont indiqué que le manque de confiance dans l’IA signifie que les investissements dans l’IA sont considérablement réduits. Il est notamment nécessaire d’instaurer une plus grande confiance entre les utilisateurs, pour 68 % des responsables IA. Cela doit passer par le biais de la formation (74 %) et la mise en avant des avantages de son utilisation (71 %).

https://www.qlik.com/