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La rumeur d’un rachat par Apple de la start-up française Mistral AI, valorisée 12 milliards d’euros, désormais écartée par l’arrivée au capital du géant néerlandais ASML, ravive les interrogations quant à la souveraineté numérique de nos licornes. Wipt, jeune pousse de l’écosystème vendéen, qui accompagne la transition numérique des PME et ETI fait de la cybersécurité et de l’indépendance numérique le fer de lance de son action.

Le pari de la souveraineté numérique

WIPT, qui délivre un panel très large de services numériques (stratégie IT, cybersécurité, hébergement, pilotage de projets) fait des choix clairs pour l’économie française : zéro sous-traitance offshore, des talents recrutés en France, et des partenaires établis exclusivement en France. De même, les data centers ne sont hébergés qu’en Europe, chez OVH Cloud. Une vision en cohérence avec une politique numérique souveraine, qui assure un haut niveau de protection et de sécurité des données, à l’heure où le stockage dans certaines parties du globe fait craindre le pire sur une utilisation malveillante.

“Artisans, professions libérales, PME et ETI de tout secteur sont maintenant ciblés par les pirates informatiques. La sécurité devient l’affaire de tous, explique Tony Besseau, président de Wipt. Pourtant, elle demeure vaine sans souveraineté numérique : c’est notre raison d’être”.

Pour la start-up, malgré une conjoncture difficile, il est temps d’investir pour se protéger. Chaque prestation est personnalisée. L’entreprise privilégie la durabilité plutôt que la standardisation et la course au volume.

Mais Wipt mène également une politique environnementale active, réduisant l’empreinte carbone de ses services par des engagements concrets et des certifications. Son ambition : en se protégeant, faire de l’IT un levier de croissance et d’impact positif.

Une start-up vendéenne en forte croissance

Fondée en 2023, Wipt connaît déjà un fort développement qui n’a rien à envier aux start-ups parisiennes : plus d’une dizaine d’employés, une quarantaine de clients et un chiffre d’affaires dépassant le million d’euros.

“Nous avons construit une entreprise offrant un niveau inégalé de maîtrise technique et de service. C’est une petite révolution, et nous ne comptons pas nous arrêter là. L’IT qui est l’affaire de tous, demeure pourtant l’apanage de quelques tours à La Défense. De nombreux projets passionnants sont dans nos cartons.” précise Tony Besseau.

Une ambition claire et affichée pour le dirigeant qui a notamment contribué aux travaux du Conseil du numérique en santé et la Délégation Numérique en Santé, notamment dans le cadre du projet Numérique et Médico-Social porté par l’Agence du Numérique en Santé.